vanessa Dakinsky’s paintings, before leaving you with exhilarating stigmatas, are total retinal hooks. A generous painting, virtuous.
Yann Arexis for Bonnefont exhibition.
Hypermonde
2021-2022
Hypermonde nous plonge dans des lieux à la fois familiers et irréels, où l’absurde prend parfois des airs légers, parfois plus troublants. C’est une quête joyeuse au cœur de paysages décalés, où l’étrangeté surgit dans les détails.
Les décors, volontairement artificiels, rappellent l’imagerie des vacances ou des réseaux sociaux. On y croise plages, objets festifs, mais aussi nuages menaçants, vents soudains, bulles en excès, fruits démesurés ou vagues puissantes — autant de signes que la nature garde toujours le dessus.
En jouant librement avec les codes du paysage et l’imaginaire du paradis perdu, Hypermonde ouvre une fenêtre sur un monde intime, instable, où la joie et la perte cohabitent dans un fragile équilibre.
Utilisant avec liberté les codes de la peinture de paysage et du paradis perdu, Hypermonde donne à voir un état des lieux intime et décalé où la perte et la joie tentent de cohabiter amoureusement dans un monde sans cesse en mouvement.
Hypermonde explores spaces that feel familiar yet unreal, inviting us on a search for joy through scenes filled with playful or sometimes unsettling absurdity.
The artificial nature of the settings — like staged holiday snapshots or stylized social media moments — mixes carefree beach and party elements with more chaotic natural forces: stormy clouds, sudden winds, rising bubbles, oversized fruits, crashing waves. A reminder that nature always reasserts itself.
Drawing on traditional landscape codes and the dream of a lost paradise, Hypermonde reveals an intimate and offbeat world where joy and loss attempt to coexist, gently and constantly shifting.
suspended times
Temps suspendu est une série de portraits réalisés autour de la période de la pandémie — comme saisis dans une salle d’attente flottante, où le temps semblait suspendu, étiré ou dissous.
Chaque visage porte la trace du silence, de l’incertitude, et d’une forme d’intimité étrange.
Suspended Times is a series of portraits created during the pandemic — like snapshots taken in a floating waiting room, where time seemed to pause, stretch, or dissolve.
Each face carries the weight of stillness, uncertainty, and a strange intimacy.
Magic mirrors
Saigon nlights
Residency in Cu-Chi, Vietnam, thanks to +0 and La Quy Tung (Lã Quý Tùng)
Saigon Nlights parcourt une atmosphère vivide et brumeuse, traversée de contrastes intenses.
Entre lumières artificielles, éclats urbains et zones d’ombre dominées par une nature vivace, la série plonge dans une errance visuelle faite de découverte et d’incertitude — comme une déambulation nocturne où les repères vacillent.
Residency in Cu-Chi, Vietnam, thanks to +0 and La Quy Tung (Lã Quý Tùng)
Saigon Nights (a blend of night and lights) captures a hazy atmosphere, shaped by sharp contrasts.
Between glowing lights, urban reflections and deep shadows, the series explores a visual drift — where discovery and uncertainty unfold in the blur of the night.
Going solar
Une série captée à la lisière de la nuit et du jour.
Le rouge saturé inonde la pièce comme une pulsation. Les corps adoptent des postures classiques — mais leur grâce est troublée par des objets inattendus.
Le mystère ne s’efface pas : il s’accentue.
Chaque image devient un lieu de friction vive : entre beauté et banalité, tension et silence, rêve et réalité.
A series captured at the edge of night and day.
Saturated red floods the room like a pulse.
The bodies take on classical poses — but their grace is disrupted by unexpected objects.
The mystery doesn’t fade; it intensifies.
Each image becomes a site of sharp friction: between beauty and banality, tension and stillness, dream and reality.
UOYEVOLI
Une série de peintures qui explore, de façon aventureuse, notre rapport pluriel à l’amour — entre jeux de miroir, illusions, reconnaissance, inconscience et mise en scène.
Les formats carrés, proches de grands polaroids, évoquent des instants sensibles et volés : fugaces, ambigus, intenses. Les peintures captent ce qui se joue — parfois sans se dire
A series of paintings that explores, with a quiet sense of exploration, our complex and various relationship with love — through mirrors, illusions, recognition, energies.
The square formats, reminiscent of oversized polaroids, suggest fleeting, ambiguous moments — observed with a gaze that is both attentive and slightly detached.
Uoyevoli turns the word inside out, shifting perspectives to reveal what quietly unfolds, with or without words.
Archives 2010 2011
Various paintings and drawings